05/12/22 : MON JARDIN... en 2021 et 2022 (4 et FIN) + POESIE
Nous voici au mois de décembre et Noël approche à grands pas et j'espère que mon article vous trouvera en forme et pour cela je vous envoie plein de bonnes ondes positives.
Nous terminons ce jour la visite de mon jardin 2021/2022 avec des photos et une vidéo dont voici le lien :
"Un seul rayon de soleil suffit à dissiper des millions d’ombres."
"La nature offre à la fois ce qui nourrit le corps et le guérit, émerveille l’âme, le cœur et l’esprit."
"Il ne sert à rien à l’homme de gagner la Lune s’il vient à perdre la Terre."
"L’homme se doit d’être le gardien de la nature, non son propriétaire."
"La nature est toujours là pour nous rappeler qu’il ne faut jamais abandonner."
"C’est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n’écoute pas."
"Regardez profondément dans la nature, et alors vous comprendrez tout beaucoup mieux."
"Rien ne me fait me sentir plus libre que de rester assis dans la nature pour respirer."
"La nature est profondément intelligente et aimante, il ne s’agit que de s’y relier pour recevoir ses enseignements de sagesse sans âge."
"Si nous prenons la nature pour guide, nous ne nous égarerons jamais."
"La nature est un professeur universel et sûr pour celui qui l’observe."
FIN
On termine avec une poésie sur dame nature
Près des ruisseaux, près des cascades,
Dans les champs d’oliviers fleuris,
Sur les rochers, sous les arcades
Dont le temps sape les débris,
Sous les murs du vieux monastère.
Dans le bois qu’aime le mystère,
Sous l’ombre du pin solitaire,
Sous le platane aux frais abris ;
A l’heure où, sous l’humble chaumière.
Le chevrier prend son repas,
A l’heure où brille la lumière,
A l’heure où le jour ne luit pas ;
L’été, quand sous le vert ombrage
Tu viens t’asseoir après l’ouvrage :
L’hiver, par le froid, par l’orage ;
Toujours, partout, je suis tes pas.
Lorsque les cloches argentines
Réveillent l’oiseau dans son nid,
C’est moi qui te suis à matines :
Et quand la prière finit.
Au sortir du temple gothique,
C’est moi qui vais sous le portique
T’offrir, suivant l’usage antique.
L’eau sainte et le rameau bénit.
Quand, vers la fin de la journée,
Tu vas près du saint tribunal,
Devant l’ermite prosternée.
Incliner ton front virginal,
C’est moi qui d’un air humble et tendre.
Quand l’Angélus s’est fait entendre,
Esclave assidu, vais t’attendre
Auprès du confessionnal.
Viens, je te dirai le cantique
Que je suis allé, ce matin.
Choisir pour toi dans la boutique
D’un colporteur napolitain,
Et contre la dent meurtrière
Des loups errants dans la clairière,
Je t’apprendrai quelle prière
Il faut réciter en latin.
Je mettrai dans ton oratoire
Un missel à fermoirs dorés,
Où des moines ont peint l’histoire
De nos anciens livres sacrés ;
Des apôtres les douze images,
La bonne Vierge, et les trois Mages
Au Christ apportant leurs hommages,
Et baisant ses pieds adorés.
Oh, regarde moi sans colère !
Promets moi que tu m’aimeras :
Ne me défends pas de te plaire,
Laisse toi serrer dans mes bras !
Que cette froideur t’abandonne ;
A péché secret Dieu pardonne,
Et je mettrai sur ta madone
Le voile que tu quitteras.
Félix Arvers
Je vous remercie toutes et tous pour vos visites, pour vos gentils commentaires. Vos commentaires sont à faire ICI, merci.
Prudence et prenez bien soin de vous surtout.
Je vous fais de gros bisous d'amitié de mon ti rocher.