5/11/20 : Musée du sel à St-Leu et la mer 2/3 - Blagues diverses
Bonjour à toutes et tous et bienvenue sur mon blog.
J'espère que vous allez bien et je vous le souhaite de tout cœur. Je vous souhaite une bonne santé et une meilleure santé pour celles et ceux qui ont des soucis de santé.
On continue de nous balader à ST-LEU au musée du sel (2/3) et ensuite une balade à la mer à St-Leu, c'est ma fille Céline qui y est allée en famille (je crois que c'était en août 2020) et qui a partagé ses belles photos avec moi.
Tout d'abord en VIDEO puis des photos
LE MUSÉE DU SEL
C’est une découverte et une visite unique à La Réunion.
La Pointe au Sel à Saint-Leu permet l’exploitation d’un sel de qualité exceptionnelle. Cet espace naturel du littoral Ouest accueille des salines exploitées artisanalement par des paludiers et un musée du Sel. L’ensemble propose de connaître l’histoire singulière de ce site et de ce condiment. Une rencontre avec le passé et des sauniers au savoir-faire traditionnel.
Les sagas industrielles ne sont pas toujours victorieuses. Celle de la Pointe au Sel en est une bonne illustration. Lorsqu'à la fin du 19ème siècle, Jean Dussac, propriétaire de l'usine sucrière de Stella Matutina, observe depuis son bureau la côte déchiquetée de Saint-Leu, il voit pourtant une belle opportunité. Depuis longtemps, les habitants de l'Ouest ont pour habitude de se rendre sur ce que l'on nomme encore la Pointe des Bretons pour y recueillir du sel.
Les lendemains de tempête, ils marchent sur cette avancée basaltique pour recueillir ici l'eau de mer dans des feuilles de palmiste pliées en forme de bateau, puis de la laisser sécher. C'est que l'endroit est, de toute mémoire, réputé pour la salinité exceptionnelle de son eau. Le sel est alors une denrée indispensable à la conservation des aliments. Attiré par la perspective d'un fructueux commerce, Dussac fait donc aménager les premiers bassins d'une exploitation qui finira par donner son nom au lieu.
Mais l'endroit, s'il permet aux habitants du coin de pourvoir à leurs besoins personnels, est loin d'être idéal pour une production à plus grande échelle. À la différence de Guérande, où les marais salants sont naturellement approvisionnés en eau de mer, le relief accidenté de la Pointe au Sel implique que l'eau doit être acheminée jusqu'aux bassins par pompage. L'exploitation se développe donc lentement jusqu'au début de la 2e Guerre Mondiale, où l'arrêt des importations et le besoin accru de sel à La Réunion provoque un boum. La production passe vite à 250 tonnes par an, mais la bonne passe ne dure pas. La fin de la guerre et le reprise du commerce avec Madagascar et les immenses salines de Diego Suarez condamnent le site en quelques années.
Durant les décennies qui suivent, malgré les tentatives d'un héritier Dussac, le sel de Saint-Leu reste un échec économique, et à la fin des années 70, le site, magnifique, est lorgné avec gourmandise par la promotion immobilière.
Si La Pointe au Sel n'est pas devenu un lotissement de luxe avec vue mer imprenable et perspective spectaculaire sur les Hauts de Saint-Leu, c'est grâce à la création d'une réserve naturelle. Ce petit bout de savane est protégé et, depuis 2007, un musée témoigne de sa petite histoire. Minuscule et gratuit, celui-ci se visite en moins d'une demi-heure, le temps de comprendre que la production de sel y est maintenue pour des raisons principalement patrimoniales.
En revanche, on peut rester des heures à se promener le long de la côte et sur les murs de pierre des bassins hors d'usage, à observer le vent jouer à la surface des salines encore utilisées, où pour se promener sur les sentiers qui mènent jusqu'au bassin naturel en contrebas. Pêcheurs tranquilles, gamins qui tuent le temps dans les hautes herbes, familles en pique-nique, falaises noires au sud, baie bleue au nord et monts nuageux à l'est : l'ambiance est calme et le paysage magnifique.
Malgré des expositions dont l'intérêt n'est pas sensationnel, le Musée de la Pointe au Sel reste un lieu où il fait bon de revenir, encore et encore, pour se laisser bercer par le vent et les embruns. En plus le sel, ça conserve.
https://www.ouest-lareunion.com/musee-du-sel-saint-leu
Ci-dessus flûte Antara : ANTARA
Flûte andine traditionnelle composée de tubes de bambou disposés en une seule ligne jouée par les Quéchas. Pérou.
Ci-dessus de dos mon petit-fils Quentin
Au loin à gauche j'aperçois mon petit-fils Quentin et mon gendre Eric, pendant que ma fille Céline prenait les photos !
FIN 2/3
Terminons avec quelques blagues, cela fait du bien de rire, on en a tellement besoin en ce moment avec toute cette tristesse, ce Covid-19, cette violence... pauvre France, pauvre monde !!!
Dans un bar. Un gars parle à une fille.
– Ah si je pouvais te voir nue, je pourrais mourir heureux !
– Et moi, si je te voyais dans toute ta splendide nudité, je crèverais de rire.
Un jeune couple est très malheureux parce qu’ils ne peuvent avoir d’enfant. Le médecin qui les examine est formel, c’est le mari qui est stérile. Le mari alors demande au médecin s’il peut leur suggérer une solution.
-“Si j’étais vous, je partirais en vacances très loin, où personne ne vous connaît et (s’adressant au mari) j’organiserais une soirée pour que votre femme couche avec un beau jeune homme, bien fait et en bonne santé, quand vous reviendriez elle serait enceinte et personne ne verrait la différence.”
Après mûre réflexion le couple décide de suivre la suggestion du médecin. Ils vont donc au Texas dans un chic hôtel, s’assoient dans le bar et attendent l’occasion.
Tout à coup un beau Texan se présente dans le bar : six pieds et deux pouces, deux cent-vingt livres et beau ! Un vrai modèle ! Le mari approche le Texan et n’a aucun problème à le convaincre de coucher avec sa très jolie femme.
Ils montent à la chambre et le mari s’assoit et sirote son scotch. Il en sirote même deux, trois, quatre, même cinq. Il lui semble que ça prend beaucoup de temps mais se dit que ça en vaut la peine. Au bout de quatre heures, il voit revenir le “cowboy” les yeux brillants, la gueule fendue jusqu’aux oreilles et lui demande :
-“Alors, comment ça été ? ”
-“C’était merveilleux ! quelle femme? WOW ! Nous l’avons fait dans le lit, sur le plancher, sur la table de cuisine, dans la chaise berceuse par devant, par derrière et si je n’avais pas manqué de condom (préservatif) je serais encore là !
Un soir, Johanne arrive du travail pour trouver les enfants lavés, une lessive dans la machine à laver et l’autre dans le sèche linge. Le souper était sur la cuisinière et la table mise. Elle en fut très étonnée !
La raison en était que Jean avait lu un article qui mentionnait que les femmes qui travaillent à temps plein et qui devaient faire toutes les tâches ménagères étaient trop fatiguées pour faire l’amour.
La soirée se passa bien et le lendemain, Johanne en fit part à ses compagnes de travail.
“Nous avons eu un très bon souper. Jean a même nettoyé. Il a aidé les enfants avec leurs devoirs, plié les vêtements et les a même rangés. J’ai eu une soirée formidable”.
“Mais que s’est-il passé après?”
“Rien. Il s’est endormi”.
Je vous remercie toutes et tous mes ami(e)s avec blogs et sans blog pour vos visites, pour vos commentaires, merci d'être là pour moi.
VOS COMMENTAIRES SONT A FAIRE ICI. MERCI BEAUCOUP.
Passez une exquise fin de semaine et surtout prudence et prenez bien soin de vous.
Gros bisous d'amitié de mon ti rocher.